• Et bien semble-t-il, que tous les fichiers numériques, ou vidéos achetés en ligne ne sont pas pour autant notre propriété.

    J'ai lu cela dans une revue féminine.

    Nous aurions qu'un simple droit d'utilisation, que je ne suis qu'utilisateur, et si j'ai validé "style j'accepte les conditions d'utilisations" je me suis engagée à ne pas transferer, vendre,prêter, louer,partager ni transmettre de contenu acheté, quel qu'il soit : musique, livre, film....l

    Donc cela revient à dire, même si j'ai acheté le produit, ou reçu en cadeau, il ne m'appartient pas, il reste au vendeur qui a acheté les droits à l'auteur.

    En clair, Amazon, chez qui je lâche de l'argent contre des livres depuis plus de dix ans, et Itune chez qui mes enfants ont dépensés leur argent de poche, nous ne pouvons pas en disposé car il ne sont pas à nous.

    Déjà que l'argent n'est plus à nous, les banques nous facturent des frais pour utiliser les fons mis à notre disposition, ce qui donne l'illusion que c'est notre compte, a nous;

    Et bien sûr le travail, la fatigue, la maladie est-ce encore notre ?

    Pas si sûr, le travail est à ceux qui mettent à disposition les outils. C'est la force de travail qui est rémunéré, et encore pas lourd, il faut rembourser, le toit, et le chauffage et la lumière et l'eau mis à disposition, les toilettes et tout le taintouen.

    Avec le peu d'argent qui reste, on se loge, on se chauffe, on mange (ça au moins, ça nous profite) temporairement.

    On achète du loisirs, musique, livre, films, logiciel, ma connection internet, mes conversations téléphoniques, ce n'est pas à nous ! nous en avons l'usure fruit.

    De plus, les diffuseurs et les éditeurs s'arrogent le droit de supprimer de nos lecteurs des contenus pourtant acquis tout à fait légalement.

    Mais heureusement nous avons le pouvoir de faire changer cela.

    Abstinence, et bibliothèques.

    Economie assuré, pour nous et moins de plue value pour les éditeurs et distributeurs;

    On marche sur la tête.

    Grosso-modo, je lis deux livres semaines depuis 35 ans, et quatre à cinq revues semaines, en travers; ma famille plutôt des films et beaucoup de musique. Multiplié par 40 ans pour le père et 15 ans pour les mômes, plus les revues de moto, chasse, pêche, mode, jardinage.

    Méchant coup, contre l'économie du numérique, des auteurs, créateurs et toutichianti, si je freine total.

    J'ai une pratique depuis que je vis sur la région Parisienne, je dépose les livres que j'ai déjà lu, dans un transport en commun, pour que le plus de personnes possible puissent acceder à la lecture, et qu'eux mêmes puissent à nouveau déposer ce livre, ou un autre, juste un cadeau innatendu, d'une lecture surprise!

    La fin du marché de l'occasion, et la fin du lien de sympathie, entre passionné.

     

     

     


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